« Vous êtes sur le répondeur de Maxime, laissez-moi un message ! »
Pour la dixième fois, la centième fois, je raccroche.
Je laisse passer une poignée de secondes, et puis je rappelle. Encore.
J’erre chez nous, je tourne comme un lion en cage.
Il est 3 heures du matin.
Mon mari s’est volatilisé en pleine nuit.
La chambre de mon bébé est vide.
Vide.