Dans les décombres de la ville, Sacha se terre. Son arme à la main, efficace et brutal comme le danger qui le cerne, il rôde. Dans ce décor d’apocalypse, il retrouve ses fantômes : sa mère, qu’il croyait avoir enterrée deux ans plus tôt, l’odeur des poivrons grillés sur le poêle, ses amis d’autrefois qu’il lui arrive de tuer, et le souvenir de l’enfant qu’il était, pulvérisé par la guerre.