Ce n’est pas le premier assassin que rencontre le juge, lui qui n’a encore jamais compris comment on pouvait tuer son prochain. Mais cet assassin-là, lui, tient à avouer, tout de go, qu’il a bien tué sa seconde femme. Et aussi sa première. Et sa maîtresse. Est-il fou ? Paranoïaque ? Schizophrène ? Non. Rien de la sorte. Le gendre parfait. N’y aurait-il donc pas besoin d’être fou pour tuer sa femme ? Voilà que des idées étranges se mettent à germer dans la tête du juge…